Notre héritage
Que laisserons-nous à nos enfants comme société?
Parce que les médias se sont mis à dire que les gens ne voulaient plus entendre parler de souveraineté, que les gens veulent entendre parler d'économie, nous n'avons jamais réglé la question de l'avenir de notre nation, le Québec.
Il faudra régler cette situation très bientôt.
Je m'explique par un exemple.
Faisons comme si le Québec était la maison que nous voulons laisser à nos enfants.
La base d'une nation, c'est son état, notre fondation, le sollage.
Les murs sont notre économie. Le toit, notre épanouissement.
Alors, expliquez-moi comment faire tenir les murs sans sollage? et le toit?
La très grande majorité des Québécois ne sont pas d'accord avec la constitution de 1982, que le Québec n'a d'ailleurs jamais signée.
Partant de ce point là, il faut soit des changements constitutionnels pour satisfaire les besoins fondamentaux des Québécois, ce que le reste du Canada n'acceptera jamais, soit faire la souveraineté.
Alors on fait quoi nous, on fait rien. RIEN.
On laisse la maison flotter sans sollage ?
Pendant combien de temps encore tiendra-t-elle ?
Est-ce vraiment ce que l'on veut laisser comme héritage à nos enfants?
Voulons-nous laisser ce choix à la prochaine génération lâchement ou prendrons-nous nos responsabilités? Moi je crois fermement qu'il est grand temps que l'ensemble de la population se parle, que chacun puisse exprimer sa façon de voir notre Québec, et se définir comme peuple, comme nation.
Ça s'appelle se constituer.
Nous n'avons aucune constitution pour nous définir comme nation, quelles sont nos valeurs, nos coutumes, nos choix de société.
Nous n'avons jamais signé celle du Canada de 1982 ne nous y reconnaissant pas.
Il nous faut notre constitution pour nous définir, point final.
Une fois définie, notre société aura clarifiée toutes ses règles selon ses valeurs.
Fini les problèmes pour protéger notre langue, notre économie, nos coutumes, notre environnement, NOUS aurons défini tout ça dans notre constitution.
Que laisserons-nous à nos enfants comme société?
Parce que les médias se sont mis à dire que les gens ne voulaient plus entendre parler de souveraineté, que les gens veulent entendre parler d'économie, nous n'avons jamais réglé la question de l'avenir de notre nation, le Québec.
Il faudra régler cette situation très bientôt.
Je m'explique par un exemple.
Faisons comme si le Québec était la maison que nous voulons laisser à nos enfants.
La base d'une nation, c'est son état, notre fondation, le sollage.
Les murs sont notre économie. Le toit, notre épanouissement.
Alors, expliquez-moi comment faire tenir les murs sans sollage? et le toit?
La très grande majorité des Québécois ne sont pas d'accord avec la constitution de 1982, que le Québec n'a d'ailleurs jamais signée.
Partant de ce point là, il faut soit des changements constitutionnels pour satisfaire les besoins fondamentaux des Québécois, ce que le reste du Canada n'acceptera jamais, soit faire la souveraineté.
Alors on fait quoi nous, on fait rien. RIEN.
On laisse la maison flotter sans sollage ?
Pendant combien de temps encore tiendra-t-elle ?
Est-ce vraiment ce que l'on veut laisser comme héritage à nos enfants?
Voulons-nous laisser ce choix à la prochaine génération lâchement ou prendrons-nous nos responsabilités? Moi je crois fermement qu'il est grand temps que l'ensemble de la population se parle, que chacun puisse exprimer sa façon de voir notre Québec, et se définir comme peuple, comme nation.
Ça s'appelle se constituer.
Nous n'avons aucune constitution pour nous définir comme nation, quelles sont nos valeurs, nos coutumes, nos choix de société.
Nous n'avons jamais signé celle du Canada de 1982 ne nous y reconnaissant pas.
Il nous faut notre constitution pour nous définir, point final.
Une fois définie, notre société aura clarifiée toutes ses règles selon ses valeurs.
Fini les problèmes pour protéger notre langue, notre économie, nos coutumes, notre environnement, NOUS aurons défini tout ça dans notre constitution.
NOUS NOUS AFFRANCHIRONS ALORS DE L'IMPOSITION DES RÈGLES D'UN AUTRE PEUPLE.
NOUS SERONS DEVENU GRAND. ENFIN
texte facebook: Éric Pettersen
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