Wolfred Nelson est né le 10 juillet 1791 à Montréal,
et est décédé le 17 juin 1863 à Montréal.
Il est un médecin, député, patriote, juge de paix,
À l’âge de 14 ans, il est apprenti chez le docteur C. Carter à
Sorel. Il obtient son permis de médecin en 1811. Durant la guerre de
1812, il est médecin de l’armée britannique et accompagne les troupes
le long du Richelieu. Après le conflit, il s’installe à St-Denis. Très
proche de la population canadienne-française, il fait siennes les idées
réformistes et s’engage en politique.
On le retrouve au cœur du soulèvement patriote de 1837. Il s’illustre en défaisant les troupes britanniques à St-Denis. Nelson est fait prisonnier, jugé et condamné à l’exil aux Bermudes.
Il revient à Montréal en 1842.
Toujours passionné de politique, il est député de Richelieu de 1844 à 1851. Il défend avec acharnement les droits des Canadiens français et prône avec fougue le gouvernement responsable. Il devient ensuite inspecteur des prisons et des asiles de la province, ce qui laisse aujourd’hui des renseignements précieux sur le système carcéral de l’époque.
En 1854, Nelson défait Édouard-Raymond Fabre à la mairie de Montréal.
Il s’affiche à titre d’administrateur partisan du progrès.
Il crée la fonction d’inspecteurs municipaux chargés de contrôler l’application de la réglementation. Il s’attaque à l’insalubrité, à la pauvreté et au chômage dans la ville.
Il envisage l’aménagement d’un parc sur le mont Royal.
Ayant sans cesse continué de pratiquer sa profession de médecin malgré ses responsabilités politiques, il publia en sa qualité de maire une brochure sur la prévention du choléra.
Il se retire de la politique municipale en 1856.
On le retrouve au cœur du soulèvement patriote de 1837. Il s’illustre en défaisant les troupes britanniques à St-Denis. Nelson est fait prisonnier, jugé et condamné à l’exil aux Bermudes.
Il revient à Montréal en 1842.
Toujours passionné de politique, il est député de Richelieu de 1844 à 1851. Il défend avec acharnement les droits des Canadiens français et prône avec fougue le gouvernement responsable. Il devient ensuite inspecteur des prisons et des asiles de la province, ce qui laisse aujourd’hui des renseignements précieux sur le système carcéral de l’époque.
En 1854, Nelson défait Édouard-Raymond Fabre à la mairie de Montréal.
Il s’affiche à titre d’administrateur partisan du progrès.
Il crée la fonction d’inspecteurs municipaux chargés de contrôler l’application de la réglementation. Il s’attaque à l’insalubrité, à la pauvreté et au chômage dans la ville.
Il envisage l’aménagement d’un parc sur le mont Royal.
Ayant sans cesse continué de pratiquer sa profession de médecin malgré ses responsabilités politiques, il publia en sa qualité de maire une brochure sur la prévention du choléra.
Il se retire de la politique municipale en 1856.
« Ici repose
la plus noble réalisation de Dieu,
un honnête homme. »
un honnête homme. »
Il décède le 17 juin 1863, à l'âge de 71 ans,
dans sa maison de la rue St-Jacques.
Son corps est inhumé trois jours plus tard
au cimetière anglican de
Sorel-Tracy.
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